Quand ces cheveux noirs corbeaux se fondent dans la nuit, je me profile dans ces ténèbres comme de l’ouate. Au bout de la solitude, mes moitiés se montrent, une par une.
Quand les fruits rouges plus rouges que les lèvres tremblent dans le vent de l’est et se transforment en rêve d’enfance, mes fantômes me chuchotent.